STOLZ dans la presse
27/11/2019
Le cuir et l’environnement : le mariage parfait
Il y a quelques décennies encore, la production de cuir était fort polluante. Les eaux usées, les tannants, les colorants, des produits chimiques quelconques étaient tout simplement versés dans la nature, sans avoir subi la moindre épuration.
Les dernières décennies on assiste incontestablement à un changement de mentalité : toute tannerie européenne est soumise à une panoplie de normes et de prescriptions écologiques, ce qui fait que les cuirs (au moins d’origine européenne !) que l’on trouve actuellement sur le marché sont sans aucun doute ‘propres’.
Le cuir est par définition le plus ancien produit recyclé au monde
Depuis des siècles, l’homme se sert de peaux bovines afin de se protéger contre les intempéries et afin de créer des instruments comme des ceintures, des sacs, des chaussures… Nonobstant l’introduction de matières synthétiques qui offrent la même valeur d’utilisation, le cuir a toujours maintenu cette fonction.
Jamais un bovin n’a été abattu pour sa peau. Chaque année, 7.2 millions de tonnes de peaux bovines se présentent sur le marché en tant que résidu de l’industrie de la viande.
Ces peaux subissent un recyclage et mènent par conséquent une seconde vie qui peut durer des dizaines d’années.
L’alternative de ce recyclage serait soit la combustion, soit la décharge : des solutions indéniablement moins propres.
Le cuir est un produit durable.
La première fonction de la peau est de protéger son porteur (l’animal) contre le monde extérieur (climat, blessures, …). La peau est donc nécessairement une matière extrêmement forte, durable et flexible. Des milliers de microfibres sont nouées l’une à l’autre et procurent à la peau une force incomparable.
Lors du tannage, cette structure est sauvegardée et la peau maintient ses caractéristiques remarquables.
Ainsi, un canapé recouvert d’un cuir de qualité a une durée de vie beaucoup plus longue qu’un meuble habillé en toute autre matière de revêtement. A cela s’ajoute que les autres composants du canapé (la carcasse, les mousses, la suspension, …) auront une durée de vie plus longue aussi, comme le revêtement est la matière qui, habituellement, s’use le plus vite.
Et les produits durables, ne sont-ils pas l’objet absolu de notre quête écologique ?
Législation écologique.
En Europe, il existe une réglementation très stricte au niveau de la production de cuir. La gestion des eaux usées, la présence de substances chimiques, les conditions sociales, … Tous ces paramètres sont surveillés et certifiés par des prescriptions écologiques. La norme la plus rigide est établie par l’institut Allemand Blauer Engel.
Tous les cuirs Stolz ont été testés et certifiés par cet institut.
Les peaux dont l’origine n’est pas connue, des cuirs qui contiennent des résidus chimiques non autorisés ou qui ont été produits dans des circonstances polluantes ou non contrôlées ne bénéficieront jamais de la sigle ‘Blauer Engel’.